Arrivé à Oulan-Bator – Un bon départ !
- Agathe
- 24 oct. 2017
- 2 min de lecture
Nous atterrissons à Oulan-Bator, la capitale de la Mongolie et notre première destination, autours de 6 heures du matin. Lors de la préparation de notre voyage, nous nous sommes mis d’accord sur 2 points : 1. Faire attention à nos dépenses 2. Avoir une approche locale. Avec cet état d’esprit, nous sortons donc de l’aéroport, nos sacs sur le dos, affrontant -7 degré Celsius afin de trouver l’arrêt de bus qui, selon le guide, ne devait être que à quelques minutes… Quand nous arrivons enfin à l’arrêt, nous réalisons que le premier bus n’arrivera pas avant 9h et qu’il n’y aucun endroit d’ouvert pour s’assoir en attendant. Cependant quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête. Une femme, la tête par la fenêtre, crie des noms en mongoliens. Nous nous précipitons alors vers elle, carte en main, en lui pointant notre destination. Elle fait non de la tête et part, nous laissant désespérées le long du trottoir. Mais après quelques secondes la voiture fait marche arrière et la femme nous fait signe de rentrer. Nous crapahutons alors dans une voiture déjà bien remplie. Pendant que le nombre de passagers ne cesse de croître, atteignant 15 personnes pour 7 places, notre voisin nous propose gentiment de payer notre trajet (nous n’avions pas de petites monnaies sur nous).
Lorsque nous descendons de la voiture, le même homme appel un taxi et nous dis que le conducteur nous amènera à notre auberge de jeunesse. Malheureusement les choses ne se sont pas passés exactement de cette façon… Le chauffeur n’avait aucune idée d’où il devait aller, et nous a alors déposé de l’autre côté de la ville. Si marcher 1 heure dans le froid avec nos gros sacs à dos n’était pas le plan initial, cela nous a tout de même permis d’avoir une première impression de Oulan-Bator : La ville est immense, assez développée, avec de nombreux grattes ciels et des personnes habillés exactement comme nous. La ville garde de plus un aspect très soviétique qui lui donne une atmosphère assez dure et froide.
Après cette longue traversée, nous avons tout de même fini par arriver à notre auberge de jeunesse. Nous nous retrouvons dans une chambre avec 2 autres françaises, Flore et Léa, qui était dans le même vol que nous mais qui était arrivée, bien sûr, une bonne heure avant !
Comments